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Le paysage de la désinformation en Belgique

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Auteur : Alexandre Alaphilippe, EU DisinfoLab.

Réviseurs : Victor Wiard, Université Saint-Louis & Jan Jagers, deCheckers.

INTRODUCTION

  • La Belgique peut être considérée comme un exemple particulier de la manière de signaler la désinformation.
  • Premièrement, le pays fédéral est divisé entre des frontières territoriales et linguistiques. La Belgique a trois langues officielles (néerlandais, français et allemand) et trois régions (Flandre, Wallonie et Bruxelles-Capitale), qui se chevauchent partiellement.
  • D’une part, cette double fragmentation, conjuguée à la faiblesse des institutions fédérales, est à l’origine de nombreuses tensions politiques et communautaires à l’intérieur du pays. De plus, les écosystèmes d’information des communautés locales sont très connectés aux pays voisins comme la France pour la partie francophone et les Pays-Bas pour la Flandre.
  • D’autre part, Bruxelles abrite la Commission européenne et abrite un siège du Parlement européen, du Conseil européen et du siège de l’OTAN. Cela fait de la Belgique une cible d’influence pour l’ingérence étrangère car la capitale est le cœur battant de la réglementation européenne.

Téléchargez ici la fiche d’information (pdf, en anglais).